Tu cherches le véritable déclic qui changera la dynamique de ton équipe?

Caroline Bergeron
il y a 4 jours
3 min de lecture

Les plus grandes prises de conscience des participants à mon Team Building créatif en entreprise: comparaison, leadership, communication, gestion des changements, réactivités, syndrome de performance, focus sur le résultat et non pas le processus, confiance en soi…

Ça te parle?

Imagine un espace où les échanges prennent vie et ouvrent de nouvelles possibilités.

Les gens se découvrent autrement, car ils sont plus ouverts à l’introspection durant une activité ludique.

Quand la comparaison s'invite… et que l'authenticité reprend sa place

J’entends presqu’à tous les coups, ceci en début d’atelier :

« Je ne suis pas un artiste, moi. »

Mais ce que j’entends derrière, c’est souvent : "J’ai peur de ne pas être à la hauteur."

Et c’est exactement là que tout commence… et que mon expertise entre en jeu.

Créer dans un espace sans jugement, sans pression de résultat, ça change quelque chose.

Petit à petit, tu laisses tomber le besoin de te comparer, et tu redécouvres ce que ça fait… d’être juste toi.

Authentique. Présent. Curieux.

Une autre façon d’être leader

Peut-être crois-tu qu’un bon leader doit toujours avoir les réponses.

Mais ce que je vois, atelier après atelier, c’est que les meilleurs leaders sont souvent ceux qui laissent de la place. Ceux qui écoutent, qui valorisent les idées des autres, qui inspirent sans imposer.

Et tu sais quoi ? Ce sont rarement les plus bruyants. Ce sont ceux qui comprennent qu’un vrai leadership, ça se construit dans la nuance, dans l’accueil, dans la confiance.

Créer des liens, pour de vrai

Pendant l’atelier, tu te surprendras peut-être à parler avec un collègue avec qui tu n’échanges jamais. Et soudain, la conversation devient naturelle, vraie et loin du jargon d’entreprise.

Je me rappelle un moment où quelqu’un a dit à un de ses collègues :

« Je n’ai jamais osé te dire ça, mais j’admire vraiment ta façon de gérer les situations tendues. »

Ce genre de chose, on ne le dit pas souvent en réunion. Mais autour d’une toile, quand les filtres tombent, on commence à vraiment se voir.

S’adapter, sans se braquer

Changer une idée en plein milieu d’une création, ce n’est pas toujours confortable, mais ça fait partie du processus.

Et c’est souvent là que tu réalises que cette peur du changement, tu la vis aussi au quotidien.

Un jour, un participant m’a dit :

« C’est fou, j’ai compris pourquoi je bloque chaque fois qu’on me sort de ma routine au travail. Là, grâce à cet atelier, j’ai appris à m’adapter autrement. »

Créer, c’est s’entraîner à rebondir. Et c’est exactement ce dont on a besoin dans le monde professionnel!

Laisser le syndrome de performance à la porte

Il n’y a pas de bon ou mauvais résultat ici. Pas de livrable. Pas d’évaluation. Pas de "il faut que".

Et ça fait du bien.

Tu redécouvres que tu peux faire quelque chose… juste pour le plaisir.

Pas pour performer. Pas pour impressionner.

Juste pour t’exprimer, pour explorer, pour créer.

Et dans cet espace-là, tu es surpris par ce qui émerge quand tu réalises que tu viens de te reconnecter avec ton enfant intérieur.

Des idées.
Des émotions.
Des élans oubliés.

Focus, confiance et collaboration

Créer à plusieurs, ça demande de s’ajuster, d’écouter, de faire de la place.

C’est aussi d’accepter que d’autres touchent à ton travail et modifient le résultat final.

Tu vas peut-être dire :

« Est-ce que je peux ajouter un peu de bleu ici ? »

Et ton collègue va répondre :

« Oui, et si l’on en ajoute ici, comme ça, ça pourrait être encore plus beau. »

Et sans t’en rendre compte, tu viens de pratiquer l’écoute active, la communication bienveillante… et la collaboration.

Tu découvres la force du cerveau collectif et l’impact de mettre en commun nos idées.

Montrer sa vulnérabilité offre aussi un espace de connexion plus humain qui perdure dans le temps.

Et si c’était le début de quelque chose d’autre ?

Souvent, à la fin de l’atelier, les conversations se poursuivent spontanément.

Tu sens que quelque chose a bougé, que les gens se regardent autrement.

Et non, ce n’est pas juste l’effet de l’activité. C’est le résultat des petits déclics, de ces micro-prises de conscience qui font toute la différence.